Chouaib Sahnoun
Récemment, le président américain Donald Trump a annoncé un plan visant à prendre le contrôle de la bande de Gaza, avec l’intention de transformer ce territoire en une sorte de “Riviera du Moyen-Orient”. Ce projet impliquerait le déplacement temporaire d’une partie significative de la population palestinienne de Gaza vers des pays voisins tels que l’Égypte et la Jordanie.
Cette proposition a suscité de vives réactions et une condamnation unanime de la part des Palestiniens et de plusieurs pays arabes. Le roi Abdallah II de Jordanie a fermement rejeté toute tentative d’annexion de terres palestiniennes ou de déplacement de leur population.
Des experts en droit international ont également critiqué le plan, le qualifiant de potentielle violation du droit international et le comparant à une forme de “nettoyage ethnique”. Ils estiment que le déplacement forcé de populations pourrait constituer une infraction grave aux conventions internationales.
En résumé, bien que le président Trump ait exprimé son intérêt pour la transformation de Gaza, son plan rencontre une opposition significative sur la scène internationale en raison des implications humanitaires, légales et politiques qu’il comporte.